41.2 Au CœUr Du Sanctuaire À Mecs

Il restera allongé sur le banc, en train de récupérer de l’effort, pendant plusieurs minutes. Et lorsqu’il estimera avoir suffisamment retrouvé ses esprits, il finira par me lancer :
Maintenant viens me sucer...
Oui, comme toujours, le légendaire sens de la formule à la Jérémie T. Au moins l’invitation est clairement posée. Et comment résister à sa poutre apparente à travers le tissu léger de son short bleu? Euhhhh… je n’avais pas dit que je n’allais pas faire de galipettes avec lui à moins d’avoir d’abord une explication sérieuse ?
C’est bien d’avoir des principes, il suffit de s’asseoir dessus pour qu’ils finissent pas craquer. Non, c’est définitif. Je ne peux pas résister à ce mec. Je ne veux pas lui résister.
Je fais le tour du banc de muscu et je me retrouve devant le mec le plus populaire du lycée, le mec qui pourrait se taper toutes les nanas qu’il croise et que personne n’oserait soupçonner de s’envoyer en l’air depuis si longtemps et si souvent avec un petit pd… j’ai envie de pleurer tellement c’est incroyable tout ça, tellement cette rencontre qu’il a provoquée représente un sursis de notre relation, cette relation qui m’est par ailleurs insupportable à vivre… c’est une énième « dernière fois » que je suis en train de vivre, une délicieuse, insupportable énième « dernière fois »…
Jérém est d’une beauté intolérable, aveuglante… et à chaque fois que je le retrouve, je ressens cette sensation, comme la sensation comme d’une aiguille qu’on enfonce dans mon cœur tellement ça fait mal… tellement ce « bonbon pour les yeux » ne m’appartient définitivement pas… tellement il n’y a que sa queue qui me soit accessible, et en aucun cas son cœur…
Je m’arrache des angoisses qui parasitent mon désir et je le retrouve en moi, ce désir, plus vif et pressant que jamais… j’ai envie de lui offrir une baise qu’il n’oubliera pas… ce sera le souvenir de moi que je graverai dans sa tête à tout jamais… le souvenir des meilleurs orgasmes de sa vie, le souvenir d’un vide couilles, certes, mais un vide couilles inégalable… j’ai envie de lui offrir autant de plaisir qu’il m’en a offert le soir après l’Esmé ou la veille dans cette cabine des vestiaires à la piscine… tellement de plaisir que j’ai cru en devenir dingue…
Je me débarrasse de mon t-shirt qui, depuis que j’ai pénétré dans cette pièce saturée d’humidité, de chaleur, de transpiration, de virilité et de désir, commence à me coller à la peau ; je m’approche de lui, j’approche mes lèvres de son short… je sens sa queue encore mi molle à travers le tissu fin… avec mes lèvres je la parcours depuis les couilles, tout lentement, jusqu’au gland… la bête commence à frémir… je sais qu’elle va réagir au quart de tour… je m’attarde sur son gland et j’arrive presque à le gober en entier à travers le tissu…
Je mouille un max avec ma langue et je sens mon beau Jérém s’exciter comme si je l’avais déjà en bouche… un instant plus tôt mes lèvres se sont posées sur une queue presque au repos et voilà que maintenant son manche s’est complètement redressé et mes lèvres caressent désormais un gland bien pulpeux… je le laisse languir un petit moment, mes lèvres parcourant lentement sa belle tige de haut en bas et de bas en haut à travers le tissu… j’accomplis cet agréable voyage plusieurs fois avant de descendre enfin son short, action que le mec me facilite en levant ses fesses au bon moment… le petit coquin !
Il faut imaginer la vision de ce mec au physique sculpté, allongé sur ce putain de banc de muscu, la queue raide, ce petit débardeur blanc imbibé de sa transpiration, une respiration qui commence à s’apaiser mais qui reste encore soutenue, sa peau mate bouillante… je suis dans un état second… j’ai envie de tout lécher, de tout caresser… je ne sais même pas par où commencer…
Je finis par poser ma langue sur sa queue… putain qu’est-ce qu’elle est chaude elle aussi… je la lèche plusieurs fois sur toute la longueur, m’aventurant de plus en plus bas… et lorsque j'arrive à l’endroit magique de la naissance des bourses, je m'arrête, comme hypnotisé, me demandant si j’ai envie d'en repartir.

..
Je me penche pour les humer, pour retrouver son odeur de mâle, de ti mec, forte, prégnante… mes narines inspirent avidement pour ramener à mon cerveau le plus possible de cette fragrance naturelle qui me rend dingue... c’est un bonheur sans pareil… quelque chose d’irrésistible m’attire vers ses couilles qui sont, elles aussi, moites… j’ai envie de les lécher à leur tour, tellement ça sent bon, tellement la douceur de cette peau fine et fraîchement rasée me fait envie... c’est ce que j’entreprends de faire, savourant avidement avec ma langue tous ces petits goûts de mec, du moins jusqu’à que…
Du moins jusqu’à que ses mains viennent s’appuyer fermement sur ma nuque en indiquant par un mouvement vers le bas le sens de la marche à suivre…
Le beau brun sait ce qu’il veut… oui, ce soir il veut que je lui lèche la rondelle… je tremble d’excitation devant la perspective de lui donner ce plaisir que je suis certainement le seul à lui offrir… ses genoux désormais repliés, ses pieds posés sur la planche du banc de muscu, ses cuisses écartées… oui, il a vraiment envie de ça… et moi je nage en plein bonheur devant ce ptit mec en sueur, allongé sur le dos, jambes relevées offrant l’endroit le plus intime de sa personne, sa rondelle chaude… et moi je vais le rendre dingue comme jamais….
Pendant que j’écarte ses globes fermes, sa main vient se poser sur sa queue et commence à la branler lentement… ma bouche s’approche de son ti trou et mes lèvres viennent l’embrasser tout doucement… je le sens frémir rien qu’à ce contact léger… le bout de ma langue sort de ma bouche et vient titiller le milieu de son anus… ses frissons se font plus marqués… ma langue insiste sur son relief ferme… sa main libre se pose sur ma tête et appuie fermement pour m’obliger à y aller franco… ma langue se déchaîne… elle s’enroule pour écarter son anus et pénétrer de plus en plus loin dans son intimité… c’est chaud, serré, super agréable… j’adore… le mec en tremble carrément… il a vraiment l’air d’adorer ça… je le lèche de plus en plus vigoureusement…
Les minutes passent et le mec semble en extase… je m’attends à que d’un moment à l’autre ses mains me forcent à trouver le chemin de sa queue, mais il n’en est rien… dans le silence de la salle, aucun bruit autre que celui de sa respiration excitée… Jérém est complètement abandonné à ce plaisir interdit… je bande comme un âne…
Il n’y a pas de mots pour décrire l’effet que ça me fait de voir mon beau brun offrir sans retenue sa rondelle, le voir relever assez haut ses genoux et bien écarter ses cuisses… voir ce ptit macho, hétéro à la base, offrir complètement son intimité la plus secrète a une langue qui vient le fouiller au plus loin possible, et y prendre un plaisir intense… que de chemin parcouru depuis nos premières coucheries… combien d’espoirs permis pour l’avenir… et quand je pense que c’est moi qui lui a fait découvrir ce plaisir interdit… je me sens si heureux que j’en ai la tête qui tourne…
C’est trop pour ma petite tête… il y a de quoi disjoncter… c’est ce qui m’arrive à un moment… une idée complètement délirante fait surface dans mon esprit… ça doit être la drogue puissante de l’excitation qui me joue des tours… pendant un instant je me dis que s’il prend autant son pied à se faire bouffer le cul, s’il frissonne autant lorsque ma langue pénètre dans son intimité, c’est que quelque part en lui il doit avoir envie de se faire titiller plus profondément… je bande à en avoir mal… une idée folle me traverse l’esprit… j’ai envie de lui… j’ai envie… de le pénétrer… je connais par expérience le plaisir que la pénétration peut provoquer… en revanche, je suis un mec et jamais je n’ai eu l’occasion de découvrir le plaisir de pénétrer une rondelle chaude…
Certes, depuis mon adolescence, depuis que les garçons ont commencé à chatouiller mon imaginaire et mon désir, à chaque fois que je pense à un mec, à chaque fois que je me branle en pensant à un bogoss, surtout à CE bogoss, je me sens passif, j’ai envie de le faire jouir comme un mec et d’être l’instrument de son plaisir… mais là je bande comme jamais et la curiosité me tenaille… j’ai trop envie de frotter mon gland sur sa rondelle… essayer d’appuyer avec mon gland, sentir son petit trou se dilater et accueillir mon sexe… j’ai envie de faire des va-et-vient… j’ai envie de savoir ce que ça fait de prendre son pied « comme un mec »… au moins une fois… depuis le temps qu’il me baise, il me doit bien ça… je sais qu’il ne va jamais accepter ça… je sais bien que cela fait partie des interdits… que c’est même l’interdit suprême… au même titre que les câlins et les baisers…
Je continue de m’affairer entre ses fesses et force est de constater que plus ma langue s’en va loin, plus il semble prendre son pied… son anus commence à être bien détendu… j’ai envie d’aller encore plus loin, de savoir jusqu’où il a envie d’aller, jusqu’où il va prendre son pied… et comme ma langue a désormais atteint ses dernières limites, je décide de changer de stratégie… sans qu’il s’en rende compte, tout pris à son plaisir, je mouille l’index de ma main droite… j’hésite… je veux lui faire plaisir mais je crains sa réaction…
Et puis, dans l’état d’excitation qui me caractérise à ce moment précis, je trouve le courage d’y aller… mon index se pose au milieu de sa raie…
Je viens tout juste de l’effleurer que sa réaction se manifeste, prompte… les genoux se déplient, les pieds se posent par terre, le buste se relève, ses yeux fulminent…
« Tu fais quoi ? »
Son regard est noir, vexé.

« Rien, je voulais juste… »
Je n’aurais pas le temps de terminer ma phrase avec « … te faire plaisir… », que déjà le mec me balance sur un ton qui n’admet pas d’appel :
« Suce moi, dépêche… »
Je suis frustré… j’aurais bien voulu voir l’effet de mon petit doigt franchissant la barrière de son intimité… faute de pouvoir y présenter ma queue…
Ce plaisir m’est interdit… mais qu’importe, ma velléité passagère, éphémère et complètement déraisonnable de devenir actif, qui plus est avec le mâle Jérémie, ou du moins d’enfoncer un doigt dans son petit trou, disparaît devant la perspective alléchante de l’avoir en bouche… et de le voir reprendre toute entière son attitude de mec bien macho… cette attitude que j’avais senti un peu s’éclipser derrière sa jouissance extrême sous les coups de ma langue dans son entrejambes…
Je le prends en bouche avec gourmandise, je commence à le pomper avec un entrain tout nouveau, cette odeur de muscu, de mecs à la douche, de déo, de testostérone m'hypnotise… tout en enroulant ma langue autour de son gland, je serre sa queue dans ma main le branlant tout doucement… je sais qu’il va apprécier… je ne suis pas déçu de la manoeuvre… et lui non plus… preuve en sont ses variations de respiration, ses touts petits gémissements étouffés au fond de sa gorge, le fait de le voir relever son buste, s’accouder et s’installer pour me regarder faire : je sens ses yeux sur moi… je ressens son plaisir d’assister à ma soumission totale à sa queue bien tendue, à son corps de ouf, à sa virilité, à sa domination…
A cet instant, je suis tout entier sous le charme de son torse en pleine transpiration, envoûté par ce putain de ti débardeur blanc sexy… ma langue a envie d’une petite escapade à travers son corps… et dès qu’elle entreprends de parcourir sa peau, je le sens frissonner de plaisir…
Le voyage commence par une étape autour de ses couilles avec une halte à la base de son manche… il se poursuit dans l’ascension au sommet de son sexe pour goûter à la douceur de son gland ; la visite touristique continue en s’attardant dans le paysage incroyable du relief autour de son pelvis, le muscles obliques de l’abdomen outrageusement saillants d’une part et d’autre de son pubis, son aine dessinant une vallée allongée avec sa hanche… plus sexy tu meurs… ce mec semble sorti tout droit du calendrier des Dieux du Stade…
Ma langue se laisse alors aimanter par les poils si bien entretenus au dessus de sa queue… elle est vite happée par le chemin du bonheur qui conduit direct à son nombril… c’est à ce moment là qu’elle se heurte au coton humide de son débardeur… mes doigts viennent à sa rescousse pour déblayer l’obstacle… je soulève le tissu par toutes petites touches, léchant sa peau millimètre après millimètre… quel bonheur que de parcourir sa peau avec ma langue, de ravir mes papilles avec ce goût un peu salé, de transporter ma vue avec le spectacle de ce paysage anatomique hors du commun, au-delà de tout canon de beauté… je ne sais pas si c’est le fait de l’avoir vu faire de la muscu, mais j’ai l’impression que sa musculature se développe jour après jour…
Après être rentré dans le territoire si plaisamment vallonné de ses abdos, ma langue s’engouffre dans la légère dépression de son nombril et s’y attarde avec gourmandise ; elle reprend ensuite sa marche, inépuisable, insatiable, parcourant chaque endroit de sa peau, léchant sa sueur, mes doigts déblayant petit à petit son chemin de ce coton humide… j’arrive ainsi à cette vallée merveilleuse qui s’ouvre entre les deux reliefs de ses pectoraux, ma langue s’attardant sur l’un et puis l’autre de ces reliefs paradisiaques… ma langue s’affaire à exciter ses tétons pulpeux, durs d’excitation…
C’est une fête somptueuse où elle se régale comme rarement ça lui est arrivé auparavant, une fête où des légers tremblements de sa peau et de ses muscles semblent annoncer une brusque montée d’excitation dans ce pays enchanté qu’est l’anatomie du beau brun…
Son débardeur désormais rabattu derrière ses épaules cou par un geste rapide et assuré (là encore, l’attitude est là, plus « petit con » tu meurs), son cou est ainsi dégagé… j’ai presque l’impression que le fait d’avoir dégagé le débardeur ressemble à une invitation la tentation est si forte… … trop envie de continuer le voyage jusqu’à la base de son cou, d’atteindre sa pomme d’Adam et ce petit grain de beauté qui me fait toujours autant délirer…
Je suis étourdi par le contact de ma langue avec sa peau douce, chaude, par le goût entêtant de sa transpiration, par son odeur de mec mêlée au parfum son déo… je me fais violence pour ne pas aller plus loin, je m’attarde dans la Vallée large et douce de ses Pectoraux pour m’étourdir un peu plus et oublier ma frustration…
Hélas, chaque fibre de mon corps est tendue par une excitation extrême… je suis arrivé au Terminus de mon voyage, mais je sais que au delà de la limite interdite, il reste des régions merveilleuses à visiter…
Alors, je craque… je remonte mon buste, d’un coup… je le regarde, abandonné sur ce banc, immobile, son torse soulevé par sa respiration redevenue enfin calme… j’ai trop envie de l’embrasser… je regarde son visage, cherchant son feu vert… ses yeux sont presque fermés, la petite fente entre ses paupières semble regarder dans le vide… j’ai l’impression qu’il attend que je me lance… peut être qu’il a enfin envie que je l’embrasse… j’en ai trop envie mais je n’ose pas, pas encore…
Dernière étape de ce voyage magnifique et épique qu’est le « Tour du Jérémie en 80 coups de langue », se poursuit au sommet de cette plastique incroyable… je vais chercher mon courage en m’aventurant jusqu’à son cou pour atteindre ce magnifique détail du paysage qu’est sa petite chaînette et son petit grain de beauté…
Nos torses se superposent, nos peaux se caressent mutuellement… nos jambes se mélangent… je sens sa queue raide contre la mienne, putain de sacrée sensation que de savoir que je le fais bander… que moi ou du moins mes compétences dans le noble art de la maîtrise du plaisir masculin… c’est le bonheur absolu…
Je suis tellement dans un état second que à un moment je ne peux plus continuer, je suis obligé d’abandonner mon voyage tel un pèlerin épuisé après tant de marche et d’émotions… alors je me laisse choir sur lui de tout mon poids, j’appuie ma joue dans le creux de son cou, j’écoute sa respiration, je vis sa respiration, mon souffle semble entrer en résonance avec le sien… je sens les battements de son cœur, je sens son sang pulser dans ses veines, ses battements s’insinuer dans mon corps, je le sens vivre en moi… le moment est tellement magique, doux et sensuel que je me sens débordé d’émotions, je sens mes larmes monter aux yeux, et je ne peux contenir un sanglot…
Jérém est toujours immobile… oh, Jérém, mon beau brun… si tu savais… si seulement tu savais à quel point…

I want you/And I want the right way/Mmmh Right I want you/But I want you to want me too (want me too)/Want you to want me, baby/Just like I want you
Je te veux/Je te désire comme il faut/Mmmmh ouais je te désire/Mais je veux que tu me désire aussi (me désire aussi)/Je veux que tu me désire, bébé/Tout comme moi je le fait

Je me ranime… Mon visage s’approche du creux de son cou, à la lisière de la Terre Interdite… je suis fou, mon cerveau embrumé par toutes ces sensations… c’est comme une bonne cuite, je ne suis plus maître de moi-même, ce sont mes envies les plus profondes qui guident ma conduite désormais… in vino veritas disent certains… in sensualitas veritas en ce qui me concerne…
Je serre son corps à moi, ses bras restent inertes…

I give you all the love/I want in return, sweet darlin'/But half a love is all I feel/It's too bad, it's just too sad/You don't want me now/But I'm gonna change your mind/Someway, somehow, oh baby
Je te donne tout l'amour/Que j'attends de toi en retour, mon chéri/Mais je sens que tu me rend que la moitié de mon amour/C'est vraiment dommage, tellement triste/Tu ne me désire plus maintenant/Mais je vais te faire changer d'avis/D'une façon ou d'une autre oh bébé

Je lui transmets tout mon amour, toute mon envie de lui faire un câlin et là, putain, je ne le crois pas… sa main bouge et vient caresser mon épaule… un simple geste, un aller-retour… depuis que je suis rentré dans cette salle chargée d’odeurs masculines pour y retrouver mon beau Jérémie je me sens au bord de l’embrasement… je sens que la moindre étincelle peut tout déclencher… et quand l’étincelle vient, sous la forme d’une simple, courte caresse, l’incendie est violent…
Ce contact inattendu, si léger, si court, est pour moi chargé de tellement de significations, ça répond tellement bien à mon besoin de ce moment là, à un besoin de tendresse si longtemps insulté et meurtri, que je ne peux pas me retenir… je lève ma tête, je le regarde ses yeux presque clos qui continuent de fuir les miens, je suis au bord des larmes, dans le ventre des nuées de papillons, je commence à embrasser son visage, avidement, fébrilement, tout en caressant ses beaux cheveux bruns… je ne sais pas si je suis éveillé ou si je rêve, je suis en train d’embrasser mon petit con de Jérém, tout son visage est couvert de mes bisous, mes lèvres épongent son front encore moite de sueur…
J’ose m’aventurer et redescendre sur ses oreilles, y promener d’abord doucement mes lèvres, les effleurer avec le bout de mon nez… furieuse envie que je refoule depuis si longtemps… m’occuper ainsi de ses oreilles est pour moi presque aussi érotique que si je faisais la même chose sur sa queue… je le sens sursauter… il a l’air d’aimer… j’entreprends alors de les lécher, les mordiller…
Les oreilles… un des trucs les plus excitants que j’adore regarder chez un mec… c’est un détail auquel je suis extrêmement sensible lorsque je mate un beau mec… je me surprends parfois a être comme hypnotisé par les oreilles d’un beau garçon, au point que parfois je me dis que je vais finir par me faire griller…
Je suis fou, je suis ivre, car il a l’air de ne pas détester mon périple dans la Zone Interdite… est-ce que… est-ce que ça veut dire que je peux oser l’inimaginable ? Oser gravir le sommet ultime, l’ascension la plus dangereuse, le plus risqué de tous les voyages, celui qui me conduira à poser mes lèvres sur les siennes ?

Won't you get down baby ?/When I get down with you/Let's Get down baby/Have mercy/Listen precious/I wanted you/For a million time/I wanted you/But I want you/Oh baby
N'accepteras tu pas bébé /Quand je me met a genoux pour toi/Laissons nous aller bébé/Ais pitié/Ecoute mon chéri/Je t'ai désiré/Plus d'un million de fois/Je t'ai voulu/Mais je te veux/Oh bébé

Je descends au long de ses tempes, débarquant ainsi sur ses joues, je dévore son menton avec mes lèvres, je remonte sur l’autre joue… je sens la chaleur son haleine… putain qu’est ce que j’ai envie de l’embrasser… et je suis fou, sa caresse m’a donné des ailes, je pince brièvement sa lèvre inférieure entre les miennes… d’abord tout légèrement… pas de réaction de sa part… j’y reviens, j’augmente la pression et la durée… toujours pas de réaction… je finis par tenter l’inimaginable, poser mes lèvres sur les siennes… je teste, timidement… craintivement… c’est d’abord un contact très léger, furtif, je me retire rapidement… j’y reviens ensuite, une, deux, trois fois… jusqu’à que…
… jusqu’à que sa main se pose sur ma tête… et là je suis fou, je vais finir à l’asile… sa main retient ma nuque fermement… nos lèvres s’écrasent les unes contre les autres… et puis c’est carrément le tsunami… dans ma tête c’est la fin du monde… lorsque je sens sa langue s’insinuer entre mes lèvres, raide, puissante, faisant des allers-retours rapides, vigoureux… c’est inattendu et très très très très très sensuel…

[Say you love me/As much as I love you, yeah/Would you hurt me, baby?/Could you do that to me, yeah?/Would you lie to me, baby?/'Cause the truth hurts so much more/Would you do the things that drive me crazy?/Leave my heart still at the door?]

Dis que tu m'aimes,/autant que je t'aime, yeah/Voudrais-tu me blesser chéri?/Voudrais-tu me faire ça?/Voudrais-tu me mentir chérie/Parce que la vérité blesse encore plus/Voudrais-tu faire les choses qui me rendent fou?/Laisser mon coeur toujours à la porte

Ce que je suis en train de vivre, tout ce qui se passe au travers du sens du toucher, du goût et de l’odorat, tout cela est si puissant et bouleversant que, dans le but de ressentir encore mieux toutes ces sensations, je décide d’exclure le sens qui a tendance à vampiriser tous les autres… je ferme les yeux et je me concentre sur toutes les autres sensations… sa langue est raide et puissante et batailleuse… elle est là, calée entre mes lèvres… ma langue à moi s’est timidement avancé vers sa bouche mais elle a rencontré cet obstacle viril dressé devant elle… alors mes lèvres ont vite compris le message… elles s’installent en position entrouverte et laissent coulisser sa langue bien tendue… un instant plus tard, elles commencent une fellation de langue… c’est comme une fellation avant la fellation…

[If I could just die in your arms/I wouldn't mind/'Cause every time you touch me/I just die in your arms/Oooh, it feels so right/So baby, baby, please don't stop, girl/Ooh, baby, I know loving you ain't easy/But sure is worth a try]

Si seulement je pouvais mourir dans tes bras/ Ça ne me dérangerait pas/Parce que chaque fois que tu me touches,/Je meurs dans tes bras/Oh, c'est si bon/Alors chéri s'il te plaît n'arrête pas/Ooh, bébé, je sais que t'aimer n'est pas facile/Mais ça vaut le coup d'essayer!

Oui, je sais, je sais… passer de l’immense Marvin Gaye à ce petit con premium de Justin Bieber, c’est un grand écart plutôt périlleux… mais quand la sensualité est dans le texte, et dans la voix… tout est bon pour exprimer le ressenti au plus profond de moi…
J’adore cette chanson dont les cœurs et la partie parlée du début font si seventies, limite sixties… où les vocalises de Justin ne sont pas sans rappeler un certain Michael Jackson entre deux époques, entre les « Jacksons » et sa carrière solo…
Il faut bien reconnaître que, au delà de sa déroutante sexytude, au delà de sa tête de petit con impuni à gifler et à faire jouir en urgence, il a un joli grain de voix ce petit mec, une voix qui sait rendre une large de gamme de vibrations, d’émotions… c’est à la fois in et masculin, touchant et sexy…

Oui, Jérém est en train de me baiser la bouche avec sa langue… putain de mec… le goût de sa langue, de sa bouche est délicieux, sa salive tiède et un peu sucrée me donne des frissons incroyables… la douceur de ses lèvres est un bonheur sans pareil… je sens de l’électricité parcourir mon corps, j’en suis secoué, j’en tremble… je continue d’accepter les assauts de sa langue entre mes lèvres, comme en état d’hypnose, je continue jusqu’à que ses mais viennent s’appuyer sur mes épaules me dégageant de lui avec un geste ferme et rapide.

Je me retrouve debout devant le banc de muscu… Jérém se lève à son tour et avec un geste de la tête m’indique ce qu’il veut… à savoir, que je prenne sa place sur la planche dont le revêtement est bien chaud et trempé de sa transpiration… et toujours ce putain d’odeur de mâle sous l’effort, de testostérone qui imprègne l’air de la pièce… et qui rends mon envie débordante, qui me rends dingue… odeur de sexe, odeur de mec, odeur de Jérém tout court…
Me voilà allongé sur le dos… le voilà qui grimpe sur le banc à son tour… qui se débarrasse de son débardeur en levant les bras d’un geste rapide et assuré, le balançant nonchalamment par terre… le voilà en train d’avancer, il pose ses mains sur la barre chromée, il met son corps en tension et vient coller ses couilles sur mon nez…
Elles sont lourdes, douces, je joue avec, je les lèche, je les gobe, je les renifle… c’est un bonheur sans égal que de le sentir frissonner sous mes coups se langue… j’adore… je pourrais passer le restant de mes jours dans cette position…
Et là, dans ce bonheur indescriptible, je me surprends à penser à quelque chose… j’ai envie de lui faire un truc… lorsqu’il se dégage de moi, je sens que c’est le moment de mettre en application ce à quoi je viens de penser…
Je relève mon torse… je prends appui sur mes coudes… il me fixe, le regard coquin, je ne suis pas sûr qu’il ait compris ce que je lui propose…
« Viens t’accrocher à la barre… » - je lui balance.
Là il a compris… sans me quitter de ce regard qui affiche désormais une expression lubrique qui me fait chavirer, je le vois approcher son bassin de mon visage jusqu’à que son gland frôle mes lèvres… dès le premier contact, celles-ci s’ouvrent lentement, dociles… il saisit la barre de poids et pendant que mes lèvres se resserrent autour de son manche, pendant que ma langue s’active pour lui donner un max de sensations, il commence à mettre de bons coups de reins dans ma bouche…
Il y va tout doucement, c’est sensuel, viril mais doux, si bon… je sens qu’il a envie de prendre le temps… c’est une recherche de plaisir qui est dans la durée et non pas dans l’urgence… j’ai même l’impression qu’il fait attention à moi, à ma bouche… comment son attitude tranche avec sa brutalité d’autres occasions… putain de Jérém, imprévisible à souhait, jamais là où on l’attendrait…
Ses mains agrippent fermement la barre et ses biceps se contractent, ses avant bras se plient légèrement, ce qui a pour effet de faire remonter et redescendre son bassin, modifiant à chaque va-et-vient l’angle d’entrée de sa queue dans ma bouche… je la sens glisser dans ma bouche, je ressens presque le sang pulser dans les reliefs veineux qui la parcourent… parfois son gland frotte contre mon palais, d’autres fois contre une joue, parfois il atterrir sur ma langue… et à chaque fois ses couilles frappent lourdement mon visage, mon menton, ma mâchoire, ma joue… la gamme de sensations est ainsi démultipliée… j’ai l’impression de redécouvrir sa queue à chaque fois…
J’ai vraiment envie qu’il jouisse dans ma bouche dans cette position, avec cette attitude de mec me dominant de tout son corps, de tout son sexe… putaaaaaiiinn !!! je suis le mec le plus heureux de la terre à ce moment là ! Je n’ai plus qu’un seul but dans ma vie, le faire jouir, le faire jouir dans ma bouche, goûter à son jus de mec, à ce nectar délicieux… le faire jouir vite, sentir ses jets exploser dans mon palais, percuter ma langue, couler en moi… quand il va jouir, je vais faire un arrêt cardiaque…
Il va jouir, je le sens… je sais qu’il adore jouir dans ma bouche et savoir que je vais tout avaler… il va se décharger dans ma gorge… j’en suis sur… soudainement il retire sa queue de ma bouche, aussi doucement qu’il l’y avait glissée… sa main appuie sur mon torse pour que je m’allonge… je le vois prendre appui sur ses pieds posés sur la planche et sur ses mains toujours enroulées sur la barre chromée, je le vois mettre son corps complètement en suspension au dessus de moi… son bassin approche de mon visage, son gland de ma bouche… comme télécommandés, mes lèvres s’ouvrent et sa queue s’y glisse à nouveau…
Et là c’est l’extase… ce ne sont plus des coups de bassin que son corps raidi est en train de mettre dans ma bouche… le mec est comme en train de faire des pompes tout en baisant ma bouche… mes yeux regardent ses biceps se gonfler, ses pectoraux se modeler dans l’effort, et ces putains de tablettes de chocolat juste au dessus de ma tête… et quand son jus viens inonder ma bouche de cinq jets copieux, vigoureux, épais, un peu amers, c’est carrément divin…
Il vient de jouir dans ma bouche, je viens d’avaler jusqu’à la dernière goutte de son jus… déjà il se dégage de moi pour partir vers une petite fenêtre qu’il ouvre pour laisser partir la fumée de sa cigarette… le vent devait être contraire, car je trouve que la fumée se répand copieusement dans la salle de muscu… j’ai toujours trouvé que la fumée de cigarette ça pue…
J’ai toujours détesté cette odeur, sauf quand elle fait partie du portrait d’un beau mec… elle devient alors un attribut viril parmi les autres… voir un beau mec tenir une cigarette dans sa main, la poser au coin des lèvres.
.. le voir prendre ce plaisir solitaire, presque une branlette nicotinique qu’ils s’envoie sous prétexte que ça détend… alors qu’il y a bien d’autres moyens pour détendre un beau garçon…
Je le regarde, parfaitement à l’aise avec sa nudité, avec sa queue qui vient de jouir et qui n’a pas l’air d’avoir envie de débander de si tôt… c’est tellement beau à regarder, un beau jeune mec…
Lorsqu’il finit de fumer sa cigarette, pendant qu’il expire une dernière longue traînée de fumée grise, il jette le mégot par la fenêtre avec un geste mécanique… il referme le battant, il se lève, et se dirige vers moi, désormais assis sur le banc…
« Viens… ».
Euh… qu’est ce qu'il a encore en tête? J’adore ce coté sur de lui, ce coté « mec qui sait ce qu’il veut et qui impose ses envies », le mec sûr de lui, de son charme, qu’il balance ça sur un ton qui n’admet autre chose que l’obéissance… j’adore cette sensation de le laisser faire, de me laisser faire… cette sensation de m’abandonner à lui, de le suivre dans un trip qu’il a échafaudé dans sa tête, qui m’est encore inconnu et qui me tarde de découvrir… et à fortiori de le découvrir avec lui…
Ce que j’aime avec ce mec c’est que jamais une baise avec lui ressemble à la précédente… il y a toujours un truc nouveau, inattendu… un coup c’est moi qui me laisse aller aux envies du moment, à des trucs que je n’ai que rarement imaginés à l’avance, des trucs qui me viennent le plus souvent dans le feu de l’action… un coup c’est lui qui impose une nouvelle façon de prendre son pied… et puis on s’étonne que je l’ai dans la peau, greffé si profondément que jamais, jamais, jamais on ne pourra me l’arracher…
« Viens… ».
Je ne me fais pas prier pour le suivre… on se retrouve dans le couloir sombre qu’on traverse direction la porte d’en face… il ouvre le battant, il allume la lumière au néon et je me trouve sur le seuil du vestiaire… oui, il m’amène dans le vestiaire… cet endroit si souvent imaginé… la salle du trésor, objet de tous les fantasmes et mère de toutes les branlettes, le cœur du sanctuaire à mecs, un petit bout de Paradis… sur terre…
Des casiers alignés sur deux murs, dont la plupart des portes sont laissées négligemment entrouvertes… des bancs où se sont succédées des générations de mecs musclés... qui ont connu toute la gamme de sensations qui traversent l'esprit d'un joueur, d'une équipe toute entière... l'espoir, la hâte de jouer, d’en découdre… le trac... la tension, l’anxiété… et ce moment juste avant le coup d’envoi où les esprits sont ressemblés dans l'attente que la tempête vienne et passe... ces bancs qui ont connu les émotions de la mi temps, l'inquiétude ou la confiance, la souffrance physique quand il faut mouiller le maillot pour y arriver, la pression…
Et l'ambiance de fin de match, quand la troisième mi temps s’annonce, quand la tempête est passée, quand on chante une victoire ou que l’on tente de digérer une défaite, lorsqu’on constate les dégâts ou lorsqu’on se félicite d'être passé à travers… lorsqu’on connaît l'euphorie ou la déception, la joie ou la tristesse, ce moment où des mecs soulagés, ayant vu s’envoler la chape qui les plombait, laissent libre cours à leur joie de vivre, à la jeunesse débordante et virile de cet age là, à la complicité entre mecs, aux blagues de mecs, aux concours de quéquettes, à l'ambiance macho, aux odeur de mecs, à l’excitation, aux regards en biais, fuyants, à la promiscuité…
Oui, les vestiaires… là où l’on retrouve cette ambiance entre potes, ces potes grâce auxquels on ne se sent pas seuls, grâce auxquels on se sent faire partie d'un groupe, d’un tout… se sentir bien entre mecs... qu'est ce qu'il y a parfois comme faiblesse sous ces muscles puissants... et oh combien l'alcool et une soirée entre potes ont le pouvoir de les apaiser, certes provisoirement, mais très efficacement… le pouvoir d’évacuer les tensions du match et de la vie en général...
Je n’arrive pas encore à croire que je me trouve dans cet endroit… avec le regard je parcours le grand espace d’un bout à l’autre, impressionné… dans un recoin au fond de la pièce, un long alignement de douches... des images trottent dans ma tête, j’en ai presque le tournis... images d’eau qui coule, de vapeurs éphémères, dans ma tête je retrouve la musique, les mots et le clip de Clarika… images rapides de serviettes négligemment nouées autour de la taille, de nudités musclées, des torses imberbes, des torse poilus, des mollets costauds, de fesses bien fermes, des tétons saillant, de biceps bien développés… et encore plus loin, dans mon propre fantasme… de sexes de mecs qui se baladent nonchalamment à la sortie de la douche, la douceur de la peau d’un garçon, l’odeur de sa peau, les envies de mâles…
Et au fond de l’alignement des casiers, une table pour massages. Dès que je l’ai vue, j’ai compris. Putain de petit coquin… il avait préparé son coup… depuis combien de temps ce petit goret regardait cette table qu’il voyait plusieurs fois par semaine en se disant « Tiens, je pourrais baiser Nico là-dessus… »… oui, depuis combien de temps ? Il m’épatera toujours ce petit con… le simple fait de penser qu’il ait pu avoir cette idée en pensant à moi entouré de ses potes en train de se doucher, de se sécher, de s’habiller, tout en discutant rugby ou nanas… ça me donne du baume au cœur… il pense à moi, parfois… il pense à comment nos baises pourraient être encore plus chaudes… à moins… à moins que je ne sois pas le premier mec qu’il baise sur cette table…
Cette dernière pensée vite balayée par l’enchaînement des événements, un instant plus tard mon buste est plié à 90 degrés, appuyé sur la table pour massages… le beau brun est derrière moi, débout, en train de coulisser entre mes fesses… oui, c’est la première fois que je pénètre dans des vestiaires et, à fortiori, la première fois que je me fais pénétrer dans des vestiaires... et c’est si excitant, si bon de le sentir en moi… sentir les va-et-vient de sa queue, ses couilles qui frappent mes fesses, être là en train de prendre un pied de fou à me faire défoncer en attendant qu’il me remplisse le cul de son jus…
Il me baise comme il m’a baisé la bouche… longuement, calmement, sans se presser… le bonheur de ses coups de reins dure un bon petit moment… mon ti trou est comblé par le bonheur de se faire prendre par le manche de ce mâle magnifique… et lorsque à un moment je le sens sortir de moi sans prévenir, je me sens frustré… je me demande pourquoi a-t-il délaissé mon ti trou avant de lui avoir fait le cadeau d’y fourrer sa semence…
Au final, ses intentions vont se révéler plutôt à mon goût…
J’adore me faire prendre par derrière… cette position permet de sentir les couilles du mec frapper mes fesses… et j’adore ça… je découvrirai par la suite que bon nombre de mecs préfèrent cette position, qui leur permet de bien aller au fond des « choses »…
Hélas, le seul truc qui me manque dans cette position, à moins de faire ça devant une glace comme on l’avait fait une fois dans sa salle de bain, c’est le bonheur de voir le mec prendre son pied… et encore avec un miroir ce n’est qu’une image… le pied absolu étant pour moi de voir le mec en train de prendre son pied, de voir ses attitudes de mec pendant la baise, de me sentir dominé… assister au spectacle viril suprême, celui de voir sur son visage la grimace de sa jouissance de mec…
Il veut changer de position, il veut me prendre par devant… je crois bien qu’il aime que je le regarde prendre son pied… il me fait allonger sur le dos, les fesses au bord de la table… d’un geste ferme, vigoureux, assurés, il saisit mes jambes, il les passe sur ses épaules… il avance son bassin, sa queue rencontre illico mon ti trou bien dilaté, il y va franco, il me pénètre à nouveau … j’en tremble tellement c’est bon… il entreprend d’envoyer de bons coups de reins, avec plus d’amplitude que dans la position précédente… putain de bel étalon !
Ses mains viennent se poser sur mes tétons… sa chaînette se déchaîne, ondule au rythme se ses coups de reins… plus sexy tu meurs… il me baise comme un Dieu, mon bas ventre connaît un plaisir intense, je ressens des frissons parcourir mes fesses, mon périnée, mon sexe, mon torse… je le regarde s’occuper de moi… c’est tellement beau de le voir en train de me sauter… je suis aux anges…
Oui, je suis aux anges… car à un moment il a ce geste qui me fait un effet de malade… il est en train de me tringler avec cette attitude de mâle tout à son plaisir que j’adore… cette attitude que plus sexe, plus mec tu meurs… c’est déjà l’apothéose, je ne saurais imaginer mieux… c’est sans compter sans les ressources presque infinies de mon beau brun… à un moment je le vois fermer les yeux, souffler comme un mâle en rut… il balance la tête vers l’arrière, débordé par son plaisir de mec… il souffle profondément à plusieurs reprises… ses coups de reins semblent ralentir mais gagner en amplitude…
« Putain… putain… » je l’entends balancer presque dans un état second, le souffle coupé par ses respirations rapides… une exclamation que, à la vue de son corps en pleine action, à la vue du plaisir qui semble secouer chacune de ses fibres, j’interprète comme n’étant que le début d’une exclamation qu’il ne saurait assumer, du style « Putain… putain… (qu’est-ce que c’est bon)… »…
Ce qui est bon pour lui, est bon pour moi aussi, car son plaisir est mon plaisir… son geste de fermer les yeux dans une grimace qui traduit merveilleusement son état d’excitation, sa façon de balancer la tête vers l’arrière à plusieurs reprises, de bomber le haut de son torse dans une attitude corporelle qui fait ressortir encore mieux ses pectoraux et qui semble donner encore plus de latitude aux va-et-vient de sa queue dans mon ti trou, tout cela me met dans un état de jouissance sensuelle que je ne saurais décrire… je suis complètement offert à mon beau mâle, et je suis en train de jouir comme un malade…
Au coeur de ce lieu de mecs, de ce sanctuaire de la virilité, enveloppé par cette odeur de testostérone, imaginant tous les garçons passés dans ce lieu, fantasmant sur les rencontres intimes et furtives, des simples branlettes, de bonnes pipes ou des pénétrations bien profondes entre corps musclés qui s’emboîtent avec bonheur, pris dans l’étreinte et dominé par la queue de mon beau brun, je sens monter mon excitation à un niveau insoutenable…
Et lorsque il marque une pause, la queue enfoncée bien au fond dans mon ti trou, les couilles calées contre mes fesses, je me sens tout entier à lui, son pouvoir de mâle sur moi est total… je me sens possédé par lui, je n’ai qu’une envie, c’est de m’offrir encore plus, c’est de le voir jouir en moi…
Une fois encore, je me sens comme une allumette que le moindre frottement va embraser… j’essaye de me maîtriser mais je sais que je peux jouir d’un moment à l’autre, sans même que ma main n’effleure mon sexe… je ne veux pas jouir avant lui… je veux lui laisser prendre son pied jusqu’au bout et je veux prendre mon pied jusqu’au bout…
Hélas, j’aurai beau essayer de me concentrer pour retarder mon orgasme… ce qu’il est en train de me faire est si bon que je finis par gicler sur mon ventre avant que Jérém ne soit venu en moi…
Je sais que Jérém n’est pas loin non plus… encore quelques coups de reins et le corps du beau brun est secoué par les spasmes de l’orgasme… sa bouche laisse échapper quelques râles contenus… il est en train de se vider en moi…
Je le regarde, les yeux fuyants, épuisé… il souffle fort… je retire mes jambes de ses épaules pour lui permettre de se dégager… et contre toute attente je le vois s’étaler sur moi de tout son poids… le fait que la peau de mon torse soit souillé de mon jus ne semble pas lui poser problème… il retire juste son bassin pour sortir de mon ti trou et il tombe presque sur moi… son visage vient se poser dans le creux de mon cou, ses lèvres effleurent la peau au dessus de ma clavicule…
Pendant un instant j’ai comme l’impression qu’il amorce un mouvement qui ressemblerait à un smack… mais ce n’est que mon imagination… ses lèvres glissent sur mon cou sans aucune intention d’embrasser ma peau… non, Jérém n’est pas en train de rechercher de la tendresse… il est juste en train de récupérer de l’effort… quoi qu’il en soit, ce contact avec son corps et avec son visage m’est super agréable… je sens sa respiration emballée, les battements de son cœur rapides… c’est fou… il vient de jouir en moi, il m’a donné un plaisir de dingue… j’ai vraiment envie de lui faire un câlin… ma main droite ne peut s’empêcher de chercher le contact avec sa peau, mes doigts caressant doucement cette région à l’arrière de son cou, jusqu’à s’enfoncer dans ses cheveux bruns, épais, doux… il ne réagit pas… mes doigts y vont de plus en plus franco… je caresse ses beaux cheveux doucement mais sans retenue, j’adore ce contact, je me retrouve à espérer que ça ne dure à jamais…
Hélas ça ne durera pas… une ou deux minutes plus tard, le beau brun se relève et part vers les douches…
Je suis épuisé, Jérém m’a demonté… je suis épuisé mais je me motive pour me relever et pour me diriger vers les douches…
Pour rien au monde je ne raterai le spectacle inégalable de mon brun en train de se savonner sous l’eau… je commence à me doucher juste à coté de lui et je le mate sans retenue… après ce qu’il vient de me mettre, j’aurais tort de m’en priver… son jus est dans ma gorge, dans mon ti trou… je peux bien mater l’étalon qui m’a fait jouir avec sa queue, en me labourant la rondelle avec son putain de manche… le mec qui a réussi à me faire jouir juste en prenant son pied…
Je regarde l’eau ruisseler sur son corps, glisser sur ses abdos et s’échapper au bout de sa queue enfin au repos… putain qu’est ce que je trouve cela excitant car… évocateur d’un mec en train d’uriner…
J’ai toujours trouvé un mec en train de pisser débout, très viril… j’ai envie de tout avec Jérém, y compris de ça… je sais que je ne vais pas oser revenir sur ce terrain car si j’ai osé lui proposer une fois, je me suis fait jeter bien comme il faut… pourtant… j’en ai envie… envie de me faire asperger par son jet chaud…
Et j’ai aussi envie d’avoir à nouveau sa queue dans la bouche… je me mets à genoux et je m’approche de sa bite… il la prend dans sa main et il me l’offre… aaahhh… il est pas contre que je la lui suce à nouveau… saligot, va ! je le suce un petit moment mais sa queue ne semble pas vouloir retrouver sa raideur… je ne veux pas rester sur ce début échec… sa fierté masculine en prendrait un coup… je détache mes lèvres de son sexe et j’entreprends à lui branler tout doucement avec ma main… je lève ma tête et je cherche son regard… nos yeux se croisent… son sourire coquin me fait comprendre qu’il a compris ce dont j’ai envie…
Il me domine de tout son mètre 83 et je sais qu’il est capable de prendre son pied juste en me refusant ce que je lui demande… l’eau continue de couler… nos regards sont comme accrochés… j’ai carrément de tournis… je sais qu’il a compris… comment va-t-il réagir ? Ignorer mon envie ? Me jeter à nouveau ? La fixité de son regard commence à me peser… je sais qu’il ne le fera pas… plus ce contact visuel dure, plus je me sentirai humilié… je décroche mon regard du sien, et pendant que j’essaie de rassembler les forces pour me relever, mes yeux restent comme accrochés à sa queue qui est pile devant mon nez et qui semble commencer à prendre de l’ampleur… mes pieds et mes genoux sont en train d’amorcer le mouvement pour permettre à mon corps de se remettre debout, lorsque une événement inespéré se produit…
L’eau cesse de couler… Jérém a fermé le robinet… il a fini sa douche, il va aller se sécher… j’accélère le mouvement de mes membres inférieur pour me dégager de cette position encore plus humiliante maintenant que l’eau ne coule plus, maintenant que seules des gouttes ruisselant sur sa peau et retombant lourdement sur le sol de la douche brisent le silence qui a regagné le vestiaire, un silence si gênant, si assourdissant à mes oreilles… mon buste commence à remonter lorsque…
… lorsque je sens sa main se poser lourdement sur mon épaule gauche m’obligeant ainsi à me remettre à genoux… mais qu’est ce qu’il fait ? Je ne vais pas tarder à le découvrir… il recule un peu, jusqu’à appuyer ses épaules contre la faïence du mur des douches… sa queue mi molle tenue entre le pouce et l’index de la main gauche, vise mon torse… putain… il va le faire… l’excitation s’empare de mon corps… des frissons violents secouent mon bas ventre… je n’ai pas le temps de réaliser ce qui est en train d’arriver, qu’un premier jet jaune rapidement coupé s’abat sur mon sternum… c’est chaud, sa sent fort, j’adore… j’en veux encore… ça doit être la première fois qu’il fait ça et il n’est pas complètement à l’aise… allez, beau brun, laisse-toi aller…
Un instant plus tard un filet jaune s’échappe de sa queue pour venir arroser mon torse… le jet prend rapidement de l’intensité, et mon excitation avec… la chaleur et l’odeur fort de son urine m’excitent comme un fou… je le regarde, en train de se soulager sur moi… le mec a désormais l’air bien à l’aise, son attitude est assurée… je sens l’excitation monter encore en moi… j’adore ce truc avec ce goût si fort de… d’interdit… je sais que ça ne va pas durer, alors j’essaie de vivre ça à fond… je branle ma queue trempée de son jet chaud et odorant…
Quelques instant plus tard le jet commence à perdre de l’intensité, pour se tarir net… sa queue affiche désormais une forme presque complète, signe que le mec n’a pas détesté… au contraire… Jérém a fini de se soulager mais il n’a pas décollé le dos de la faïence… vu sa main qui s’est portée sur sa queue et qui la caresse désormais assez vigoureusement, j’ai la nette impression qu’il s’attend à que je le suce encore…
Dans l’état d’excitation que son cadeau inattendu m’a mis, devant ce corps perlé de gouttes d’eau, je ne saurais rien lui refuser, et surtout pas une bonne dernière pipe… je m’avance vers son bassin et je pose mes lèvres sur son gland… sa main se retire pour laisser toute attitude à ma bouche… sa queue est désormais à nouveau raide comme un piquet… je le pompe vigoureusement… mais peut-être pas assez à son goût… un instant plus tard ses mains viennent se poser sur ma nuque… maintenant c’est lui qui dirige le jeu, qui donne le tempo… désormais ce n’est plus moi qui le suce, c’est lui qui me baise la bouche…
Il y met des coups de reins de plus en plus puissants, de plus en plus violents… c’est brutal, presque animal… à un moment il me saisit brusquement par les épaules, m’obligeant à prendre sa position contre le mur des douches… ma tête coincée contre la faïence, ses coups de queue deviennent sacrement efficaces… je n’aime pas quand il fait ça… je sais que je vais avoir mal… et ça ne rate pas… rapidement mon palais commence à être meurtri… j’ai envie que ça s’arrête… je suis à deux doigts de repousser son bassin… mais je n’ose pas… je me dis qu’après ce qu’il vient de me faire je lui dois bien ça… à posteriori, je me dis que je ne lui devais rien du tout, et surtout pas de supporter la douleur que sa queue m’infligeait… et, oui, j’étais si jeune, si amoureux et si… con !
J’ai vraiment mal à la bouche, je ne prends aucun plaisir, je ne ressens aucune excitation, je ne vis plus que ma douleur… ça m’attriste de penser que cette belle soirée où j’ai connu tant de plaisir sensuel et sexuel, où l’on s’est câlinés comme jamais, se termine avec cette brutalité… ma douleur devient carrément insupportable et, dans un élan de survie, mes bras se lèvent presque contre ma volonté pour repousser son bassin… c’est là que des jets chauds jaillissent de son gland et vont percuter le fond de mon palais… sa queue se retire très rapidement… c’est un vrai soulagement… j’ai très mal, je suis presque en apnée… le contact de son jus avec mon palais me fait tousser, je ne peux rien garder… pour la première fois dans nos ébats, je n’avalerai pas son sperme…
Je reprends ma respiration et, pendant que j’entends l’eau recommencer à couler quelques douches plus loin, je me relève rapidement tout en continuant à tousser, tout en évitant soigneusement de le regarder, me demandant pourquoi ça finit toujours par se terminer de cette façon avec lui… pourquoi, après un câlin un peu tendre, après une bonne rencontre sexuelle, ça se termine toujours par la baise de trop, une baise brutale qui salit tous les bons moments que l’on vient de passer…
Le pire c’est d’admettre que cette fois ci… c’est de ma faute… si je ne lui avais pas demandé de me faire ce truc… on se serait douchés et on serait parti tous les deux avec le souvenir d’une magnifique soirée… alors que là je ne ressens plus que la douleur qui meurtrit ma bouche, mon palais… ainsi, ce petit truc qu’il a consenti à me faire devient le symbole d’une humiliation qui s’est accomplie dans cette dernière baise qui a tout gâché…

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